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2005

La mission - 1er essai

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Jean-Pierre Houdin fait plusieurs séjours au Caire pour étudier les sites des pyramides, faire avancer le projet de mission et rechercher des mécènes sur place ; grâce à la Mission Economique Française et au Club d’Affaires Franco-Egyptien (CAFE), il convainc plusieurs entreprises, françaises et égyptiennes, de devenir mécènes de l’ACGP. Le financement de la mission est en très bonne voie. Le CAFE publiera plus tard un très long article sur la théorie, en arabe et en français, dans sa revue L’Antenne.


Le 12 janvier, Jean-Pierre Houdin donne une conférence à l’Ecole Centrale de Nantes.

 

Le 4 avril, Jean-Pierre Houdin rencontre le Pr Dr Rainer Stadelmann, égyptologue renommé et ancien directeur de l’Institut Allemand d’Archéologie du Caire, qui accepte aussi d’être conseiller de la future mission ; elle est maintenant soutenue par les 2 égyptologues spécialistes des pyramides. Le lendemain une réunion a lieu avec le Dr Magdy El Ghandour, directeur des missions étrangères au Conseil Suprême des Antiquités pour préciser les modalités administratives liées à la future mission.

 

Le 18 avril, à l’invitation du Dr Pierre Grussenmeyer, membre fondateur de l’ACGP, conférence de Jean-Pierre Houdin à l’INSA Strasbourg, partenaire scientifique de la mission en préparation (Photogrammétrie)

Le 3 mai, conférence à la Société des Ingénieurs des Arts et Métiers grâce à Henri Houdin, Hubert Labonne, Jean Carayon, Gérard Ledieu et Jean-Louis Simonneau, tous  Gad’zarts; celle-ci aura une conséquence extraordinaire pour la théorie et l’ACGP : un autre Gad’zart présent dans la salle, Jean-Jacques Urban-Galindo, prend discrètement contact avec la société Dassault Systèmes, éditeur de logiciels 3D, pour lui recommander une entrevue avec Jean-Pierre Houdin.

 

Le 21 juin, Jean-Pierre Houdin reçoit au Caire un appel de M. Richard Breitner, ingénieur  de  Dassault Systèmes et un rendez-vous est pris au siège de cette société pour le 30 juin ; ce jour-là, les bases d’une collaboration sont discutées avec Mehdi Tayoubi, directeur du programme « Passion for Innovation », et Richard Breitner.

 

En septembre, la société EIFFEL offre à l’ACGP une magnifique plaquette de présentation du Projet Kheops sur une maquette conçue et réalisée gratuitement par l’artiste Raphaël Thierry. Elle est unanimement admirée par ceux qui la reçoivent, mécènes et partenaires de la future mission en particulier.

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Après plus de 8 mois de préparation, le dossier définitif de la mission est pratiquement prêt à être remis aux autorités Egyptiennes quand, le 25 juin, le Pr Dr Rainer Stadelmann informe Jean-Pierre Houdin que sa participation en qualité de conseil de la mission n’a pas été agréée par le Secrétaire Général des Antiquités. Quelques jours après, c’est au tour du Dr Dieter Arnold de ne pas être agréé. La mission est de facto retardée dans l’attente de trouver d’autres égyptologues conseils. Invité par Jean-Pierre Houdin à prendre lui-même la direction de la mission, le Dr Hawass décline l’invitation.

Par contre, quelques mois plus tard, il accepte d’écrire une préface pour un livre que Jean-Pierre Houdin prépare et qui sera publié en Egypte par les éditions Farid Atiya Press en 2006.


En novembre puis en janvier 2006, au Caire, la vidéaste Bulle Plexiglass filme des scènes étonnantes sur un chantier de construction en plein centre-ville : la réalisation de 2 massifs en sacs de sable destinés à tester la résistance du sol avant la construction de poteaux ; ceux-ci sont construits « de l’intérieur », avec une rampe intérieure pour l’un d’eux. Une technique qui semble ancestrale.

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