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2004

Grenoble : congrès international des égyptologues

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Au printemps, et grâce à l’intervention de François Levieux, Président du Comité Scientifique, la société Thalès, grand spécialiste des radars, décide d’apporter son soutien à l’ACGP ; en vue de la future mission une campagne de mesures radar est réalisée sur des murs en calcaire des châteaux de Coucy-le Château et de Pierrefonds.
Les premiers mécènes commencent à rejoindre le projet grâce, en particulier, à Jacques Huillard et Marc Buonomo.


En avril, Henri Houdin imagine que les rotations des traîneaux dans les arêtes se déroulaient dans des « pièces de rotation » plutôt que dans des encoches ouvertes sur l’extérieur. Sans indices permettant d’accréditer cette hypothèse, cette solution est mise de côté ; il faudra encore attendre 4 années avant  de finalement intégrer cette idée dans la théorie.

 

Le 8 juin, le Dr Bob Brier et Jean-Pierre Houdin rencontre le Dr Dieter Arnold, égyptologue renommé et directeur du département des Antiquités Egyptiennes au Metropolitan Museum de New-York. Le Dr Arnold est très positif au sujet de la théorie et fait remarquer que le Temple Solaire de Niuserre à Abou Ghorab présente les vestiges d’une rampe intérieure similaire.

Le 6 septembre, au premier jour du 9ème Congrès International des Egyptologues (Grenoble), Jean-Pierre Houdin fait une communication officielle au sujet de la rampe intérieure puis une conférence publique sur le même thème ; une nouvelle modélisation 3D est réalisée à cette occasion. C’est la première fois que la théorie est présentée dans un cadre égyptologique et scientifique. Grâce au Pr Hany Helal, Jean-Pierre Houdin rencontre le Dr Zahi Hawass, Secrétaire Général du Conseil Suprême des Antiquités Egyptiennes.

Du 29 septembre au 8 octobre Jean-Pierre Houdin effectue son premier séjour en Egypte. Il découvre enfin les pyramides sur lesquelles il travaille depuis 5 ans. Il rencontre à nouveau le Dr Hawass au Conseil Suprême des Antiquités et l’informe du projet de l’ACGP d’effectuer, en collaboration avec la Faculté des Ingénieurs du Caire, une mission sur la pyramide de Kheops au moyen de techniques non-destructives. Le Dr Hawass impose au moins un égyptologue de renom dans la mission. Lors d’une rencontre à Dahchour, le Dr Dieter Arnold donne son accord à Jean-Pierre Houdin.

Abou Ghorab Ludwig Borchardt

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